De mémoire d'outlaw : Porky Freddy

Porky Freddy alias The Greedy Hog of Conflans
And (James) Last but not least... Porky Freddy, le sanglier des Ardennes. Issu d'un croisement entre une race de chiens gourmands et une variété rare de cochons aux phalanges élastiques, il était aussi à l'aise avec un crayon qu'avec un médiator. Ce cochon de barde vola son premier ukulélé à 6 ans puis fit ses gammes dans le gang des frères Fender. Il rejoignit ensuite la bande de Rick and Baker et, après avoir abattu plusieurs Marshalls, devint un desperado de la six-cordes au sein d'une bande qui réunissait Ugly McBear, Slim Silent Dave et El Senor Tuco. Surnommé "La terreur de Pigale" il rodait et traquait les pédales dans les guitar shop pour assouvir son vice : la quête de la Stratocaster de ses rêves, dans l'espoir de la provoquer en duel... Sentant le vent tourner, il se rangea du vibrato et se fit passer pour un guitariste aveugle au sein d'un orchestre de musique folklorique, entamant par la même une carrière de musicien de belouze sous le nom de Blind “Babymeu” Mewnier. Bien qu’il soit clairement établi aujourd'hui qu'il détestait ce genre musical mais adorait le Zouk et surtout le Disco (il dansait aussi la Carioca comme personne) Il restera dans l'histoire comme l'inoubliable interprète du “Downloaded with E-mule Divix Blues” qui occupa longtemps la tête de gondole du haut des charts des hit parade et qu'il chantait avec sa muse, une comédienne impitoyable du nom de Sister Clo... Ce cliché, le seul connu à ce jour, fut pris le 15 décembre 1898 lors de l’unique séance d’enregistrement auquel il participa durant sa trop courte carrière. En effet, deux jours plus tard, le malheureux succomba à une intoxication causée par l'ingestion d'une bonne demi douzaine andouillettes pas fraîches.
“On a tous adoré Holin' Wolf, Chuck Berry et Bo Didley, mais celui qui a vraiment changé la bourrée ardennaise, c’est Blind “Babymeu” Mewnier. Il était laid, sale, brutal, c’était un porc, mais il jouait le blues comme personne. Oui madame.” (Seasick Steve).
Source : Encyclopédie du Blues par le Dr Frederic K. Lizeaux (Editions de L’Ours qui pète)

To be continued

Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé serait totalement improbable non mais vous avez fumé ou quoi?

Comments

[Mr Bear]

... d'ours les faits relatés ici sont bien amoindris par la mémoire défaillante du Sénör Tuco. Trop de tacos Tuco, trop de tout Tuco. Tu perds les pédales, arrêtes d'aboyer (Wah wah), et remet toi à la lecture. Il est relaté dans les lignes du Tombstone Epitath que Porky Ferddy est né Fred Goldenhand, naissance en Europe de l'ouest émigré par erreur dans une caisse de bois importer à grand frais du vieux continent par sieur Léo Gibson pour en faire des guitares. On dit que c'est de là que lui vient son talent avec tout ce qui est de bois. Crayon ou guitare, ukulélé ou charango. Ce n'est qu'après c'est 7 ans qu'il flingua son premier Marshall. Muddy Waters chanta les faits en parlant de lui comme le "seven son" (enfant de 7 ans) dans son célèbre Hoochie Coochie Man. Du terme balancer en anglais rappel de son pénible voyage avec les billots de bois qui lui avait sérieusement attaqué la caboche. Ce n'est qu'après qu'il nous a rejoint Silent Dave, toi et moi.
Pour la carioca je ne sais plus trop, ma tête défaille, les coups de masse n'ont pas attaqués que mes tympans et les cailloux, une chose dont je suis sûr c'est que le fameux Seasick lurkait grâve sa Fender 1862 et qu'on lui attribut la confection des andouillettes qui ont tué Blind “Babymeu” Mewnier. La guitare a depuis ce jour disparue ...